[article] in Mercure de France > 1 (Janvier 1890) . - 30-32 Titre : | Les Livres, Théâtres, etc. | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Mercvre, Auteur ; Louis Dumur, Auteur ; G.-Albert Aurier, Auteur ; Louis-Pilate de Brinn'Gaubast, Auteur | Année de publication : | 1890 | Article en page(s) : | 30-32 | Note générale : | Compte rendu, Critique littéraire, Critique théâtrale, Critique picturale, Echos | Langues : | Français (fre) | Résumé : | Louis Dumur, Gabriel-Albert Aurier, Louis-Pilate de Brinn'Gaubast.
Joies, poèmes (1888-89), par Francis-Vielé Griffin - Le Livre du Jugement (la Création, la Chute), par Alber Jhouney - Bas les Cœurs ! par Georges Darien - Albanus-Albano, par Bardha de Temal
Le Théâtre-libre a inauguré sa saison théâtrale par un acte en vers de M. Georges Bois, et cinq actes en prose de M. Georges Ancey. De l'acte de M. Bois, peu de chose à dire. Le sujet, assez banal, n'est relevé ni par les vers, qui sont quelconques, ni par le jeu, qui est mauvais. Ce parallèle entre Charles d'Orléans, l'inventeur du rondel, et François Villon, le père de la ballade, ne s'imposait guère, que je sache, après le Gringoire de Banville. On a accueilli, du reste, Au temps de la ballade, la pièce en question, assez fraîchement. — Ah ! par exemple, c'est des deux mains que nous applaudissons au succès de l’École des Veufs, de M. Ancey
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[article] Les Livres, Théâtres, etc. [texte imprimé] / Mercvre, Auteur ; Louis Dumur, Auteur ; G.-Albert Aurier, Auteur ; Louis-Pilate de Brinn'Gaubast, Auteur . - 1890 . - 30-32. Compte rendu, Critique littéraire, Critique théâtrale, Critique picturale, Echos Langues : Français ( fre) in Mercure de France > 1 (Janvier 1890) . - 30-32 Résumé : | Louis Dumur, Gabriel-Albert Aurier, Louis-Pilate de Brinn'Gaubast.
Joies, poèmes (1888-89), par Francis-Vielé Griffin - Le Livre du Jugement (la Création, la Chute), par Alber Jhouney - Bas les Cœurs ! par Georges Darien - Albanus-Albano, par Bardha de Temal
Le Théâtre-libre a inauguré sa saison théâtrale par un acte en vers de M. Georges Bois, et cinq actes en prose de M. Georges Ancey. De l'acte de M. Bois, peu de chose à dire. Le sujet, assez banal, n'est relevé ni par les vers, qui sont quelconques, ni par le jeu, qui est mauvais. Ce parallèle entre Charles d'Orléans, l'inventeur du rondel, et François Villon, le père de la ballade, ne s'imposait guère, que je sache, après le Gringoire de Banville. On a accueilli, du reste, Au temps de la ballade, la pièce en question, assez fraîchement. — Ah ! par exemple, c'est des deux mains que nous applaudissons au succès de l’École des Veufs, de M. Ancey
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